Profil

concepteur + maître d’oeuvre

+ architecture écologique et sophistiquée

+ intervention contemporaine dans bâti ancien

+ habitat haut de gamme et paysager

+ micro-urbanisme (couture urbaine, agencement artisanal)

+ équipements publics et privés, ERP, mise aux normes

Douai, Bassin Minier N-PdC, Hauts de France

Architecte indépendant, je propose mes compétences pour la réalisation d’études de conception et le suivi complet de votre projet de construction – pour particulier, professionnel, collectivité – conseil aux auto-constructeurs ainsi qu’aux chargés d’affaires et élus novices dans la maîtrise d’ouvrage

pour me contacter :

06 73 96 22 17 ou contact@alexisdelinselle.fr

Informations sur l’entreprise

Responsable : Alexis DELINSELLE, 08/04/1980, imm.180045917805072

Fonction / Diplôme : Architecte D.P.L.G . le 17/01/2005 à Ecole d’Architecture de Lille (actuelle ENSAP Lille)

Téléphone : 06 73 96 22 17

Email : contact@alexisdelinselle.fr

Adresse postale : (chez JM et MF Delinselle), 309 Av. Résistance, 59167 LALLAING

Site web : http://www.alexisdelinselle.fr

Siège social et lieu d’exercice : LALLAING, FRANCE

Année de création : 2011

Type d’entreprise : Profession libérale

Taille de l’entreprise : 0 à 1 employé

Code APE : 7111Z (act. d’architecture)

Siret : 500 836 242 00023

Régime fiscal : micro BNC,

Régime TVA : franchise de base

Chiffre d’affaire : CA 2019 = 31 700 €, CA 2020 prév.= 32 861 €, CA 2021 prév.= 32 à 35 000 €

Ordre Architecte : n° 073563 au tableau des Hauts de France

Assurance : 152516/B à la Mutuelle des Architectes Français Assurances

Historique d’activité

Originaire de Douai, je sors diplômé « Architecte DPLG » (niveau Bac+6) en Janvier 2005, de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Lille (ENSAPL), où j’ai suivi l’ensemble de mon cursus.

Employé de 2005 à 2010 en agences d’architecture à Saint Laurent Blangy, Douai-Dorigines et Valenciennes, j’y fais mes armes sur la conception d’EHPAD, médiathèque, résidence collective de 50 logements, lotissement HLM, collège, etc.

Je m’installe à mon compte en 2011, bénéficiant d’un recul professionnel, de conseils avisés, pour une activité principalement et volontairement centrée sur les habitations de particuliers de l’auto-construction au haut de gamme, jusqu’à 500k € HT de coûts travaux.

Aujourd’hui, mon activité est en expansion. Des projets plus ambitieux de développement sont menés, tel qu’un programme d’habitat participatif à Lallaing. Et depuis 2018 je commence à m’intéresser aux marchés publics à petits budgets (jusqu’à 500k euros de coût travaux).

Valeurs

L’architecture est pour moi une méthode de travail artisanale pour créer des bâtiments authentiques et originaux.

Mon rôle est d’avoir une vision globale avant, pendant et après les travaux de construction: imaginer les qualités du futur bâtiment pour savoir où l’on va ; ensuite créer des documents codifiés pour décrire le projet de construction afin d’organiser le chantier ; enfin s’assurer que la réalisation soit conforme à ce que l’on a planifié.

Une qualité importante que je cherche à atteindre pour un bâtiment est d’être ressenti comme agréable et chaleureux. Les techniques actuelles, notamment en lien avec l’écologie, sont un apport important car elles offrent de nombreuses possibilités et astuces pour créer un environnement confortable.

Sans forcément en avoir conscience, les bâtiments que nous construisons conditionnent notre manière de vivre. Comme les vêtements, il en faut pour toutes les tailles et pour tous les goûts. Mon ambition est simplement d’offrir un environnement adapté à la personnalité et au projet de vie de chacun.

Mon domaine de prédilection en architecture est l’habitat sous toutes ses formes : maison individuelle actuelle (contemporaine, écologique, grand format, création architecte), projet atypique (création de loft, réhabilitation, extension d’implantation complexe, petit collectif locatif, combiné habitat – lieu de travail), projet d’intérêt général en terme de planification urbaine et écologique (habitat participatif, éco-quartier, couture urbaine, reconversion site affectif). C’est une échelle de bâtiment modeste, que l’on peut travailler comme un bijou raffiné et sophistiqué. C’est aussi un lieu essentiel en tant que cadre de vie matériel et environnement adéquate pour l’épanouissement affectif (famille, loisirs, travail à domicile).

Stratégie de moyens

Mes projets ne sont pas le résultat d’une chaîne de production avec un employé différent à chaque étape. Ils sont le fruit d’un travail artisanal, dans lequel un expert polyvalent s’investi du début à la fin pour donner le meilleur de lui-même. Cette polyvalence, permet de sortir des sentiers battus et d’aborder sereinement les nouveautés.

Je ne partage pas le mode de vie des « artistes maudits », ceux qui expliquent qu’ils ont besoin d’être soûls pour produire. C’est quand je suis heureux que ma production est la plus réussie, aussi je cultive ma qualité de vie pour la transmettre dans mes projets.

Il s’agit pour moi de concevoir et fabriquer un bâtiment de qualité et qui, même s’il est modeste dans sa taille, n’a rien à envier aux grosses productions en termes de satisfaction.

Bibliographie : « Conserver ou restaurer », C. Boito ; « La conception bioclimatique », Courgey/Oliva ; « 170 Séquences pour mener une opération de construction », éd Le Moniteur

Capacité financière : CA 2019 = 31 700 €, CA 2020 prév.= 32 861 €, CA 2021 prév.= 32 à 35 000 €

Démarche Responsabilité Sociétale d’Entreprise 

Les bâtiments que nous construisons sont le reflet de notre époque. A ce titre il convient de prêter une attention aux valeurs qu’ils concourent à entretenir. Accompagner nos progrès et proposer des solutions aux menaces. Ils doivent aussi ménager ceux qui ont besoin de davantage de temps pour s’habituer aux bouleversements sociétaux.

Engagements pour une architecture qui contribue à faciliter le vivre ensemble :

1. L’architecture doit refléter le métissage ethnique existant de longue date. L’action de conservation par les Architectes des Bâtiments de France d’une écriture architecturale aux abords d’un bâtiment de qualité « témoignage historique » reste légitime. En revanche, cette action ne peut être une excuse pour que les règlements d’urbanisme généralisent les recommandations ABF partout en vue d’entretenir l’image d’Épinal d’un territoire uniforme qui ne serait composé que d’individus tous issus de la même origine ethnique. A l’instar de certains élus, l’architecte ne doit pas brider sa production à une architecture régionaliste puriste. Il défendra l’expression des envies culturelles importées de ses clients. L’architecte se préoccupera néanmoins de marier habilement les différents styles pour créer un paysage agréable et vivant.
2. L’architecture doit continuer de banaliser la présence du handicape. Celle-ci n’est pas qu’une question de dimensionnements adaptés. Ce doit être aussi l’expression d’une culture qui a des repères différents des 100% valides. Le handicape a aussi sa propre diversité interne, entre ceux qui ont obtenu une reconnaissance et ceux qui attendent encore. L’architecte doit faire preuve d’empathie afin de comprendre des contraintes qu’il ne connaît pas lui-même et faire preuve de tolérance sur la manière dont les gens gèrent des défis qu’il n’a jamais eu à affronter.
3. L’architecture doit contribuer à l’égalité homme/femme. Il s’agit aussi d’intégrer la présence d’individus qui ne se reconnaissent pas dans la binarité de genre homme/femme. Leur mise en lumière récente est un début encore fragile d’acceptation par la société, mais aussi une conséquence de la revalorisation de la femme dans une société où l’hégémonie patriarcale est remise en question y compris par des hommes eux-mêmes. Pour cela, l’architecte sortira des clichés formels tels que les couleurs genrées ou la ségrégation H/F. Mais aussi il est nécessaire de prendre en compte la voix des femmes dans les processus de conception et de décisions des espaces publics et dont elles se sentent encore exclues. L’architecte devra faire preuve de pédagogie pour expliquer les implications aux sceptiques. En interne la production de bâtiment doit s’efforcer de montrer l’exemple en intégrant du personnel féminin.
4. L’architecture doit aider à se protéger d’un conservatisme offensif. Le souvenir du message « plus jamais ça ! », que nous ont laissé les générations de 39-45, semble déjà oublié par les cohortes de personnes en colères prêtes à tous casser. Elles n’hésitent pas à donner leur vote à ceux qui détournent l’argumentation conservatrice pour dissimuler des ambitions fascistes. Ils attisent le feu, encouragent les conflits, montent les uns contre les autres, mentent et promettent n’importe quoi pour se démarquer. L’architecte peut contribuer à l’effort collectif de restauration d’une confiance envers les décideurs. Il peut aisément choisir de dire la vérité sur les contraintes de son métier, expliquer pour rassurer et créer un lien de confiance, plutôt qu’inonder son client de langage technique pour l’intimider et ainsi prouver qu’il est indispensable.
5. L’architecture doit aider à réduire la visibilité des inégalités de ressources. L’appétit insatiable des mieux lotis est sans limite : l’écart entre les revenus les plus élevés et les plus faibles ne cesse de grandir, le revenu sur le capital est plus rentable que le travail humain, les ressources naturelles limitées vont au plus offrant, et les pays les plus pauvres deviennent les poubelles des plus riches. L’architecte ne refera pas le monde à lui tout seul. Mais il peut contribuer à réduire si ce n’est les écarts en eux-mêmes, au moins leur visibilité. Atténuer la démesure des bâtiments qu’il conçoit pour les plus aisés, en leur donnant une échelle humaine raisonnable, en les intégrant dans leur paysage, en incitant les clients aux démarches éthiques. L’architecte peut aussi compenser les premiers prix matériaux et surfaces bâties réduites par une qualité de conception, et le respect des rêves d’enfance de ses clients pour une architecture populaire ou traditionnelle.
6. L’architecture doit être garante de la protection de l’environnement. La surestimation de la capacité de renouvellement de la nature, le manque de considération de ceux qui ne voient que l’intérêt immédiat, les grands enjeux économiques d’une société de consommation en croissance perpétuelle, la politique de l’autruche du plus grand nombre : les appels à l’aide militants, les COP, les engagement s’enchainent, mais les actes et résultats se font attendre. Les nouvelles constructions peuvent être un déclencheur pour agir. L’architecte peut proposer des solutions concrètes de développement durable aux décideurs avec qui il travail régulièrement. Leurs moyens financiers sont importants et mobilisables rapidement. Pour cela l’architecte doit régulièrement mettre à jour ses connaissances via la formation continue sur les nouvelles techniques. Par sa clientèle aux profils variés, l’architecte créée des liens et peut mettre en relation les expériences complémentaires des uns et des autres.

Rédigé par Alexis DELINSELLE, Décembre 2021 

Ressource humaine 

Alexis DELINSELLE, 41 ans, Architecte DPLG,

Responsable Conception, Technique et Chantier

16 ans d’expérience professionnelle en agence d’architecture

Diplôme d’Architecte DPLG. Bac+6, 01/2005, ENSAP Lille,

Permis de conduire cat. B 06/1998

Protection financière 

Caution bancaire garantissant le paiement des diverses charges de fonctionnement de l’entreprise

Police d’assurance contre les risques professionnels souscrit auprès de la Mutuelle des Architectes Français Assurances (voir annexe)

Matériel 

Outils Bureautique et CAO / DAO : + 1 Poste de travail à domicile + PC fixe configuration « gaming » adapté aux logiciels exigeants de CAO/ DAO, réf: Acer PredatorG3610,   Core i52, ram 6mo, vidéo 4 mo dédiés, ddur 1To,+ PC portable configuration « gaming » Asus ROG, + Imprimante couleurs A3 Epson Eco-Tank 16500 (impression de grand format via entreprise reprographie)

Licences logiciels : + AutoCAD 2008 LT (dessin technique) + AutoCAD LT 2020 (abonnement) + Photoshop CS3 (photomontage) + SketchUp 7 Pro (modélisation 3D) + ArtLantis Render 2 (rendu 3D) + Dreamweaver CS4 (éditeur web) + Office 2016 Word/Excel (texte, tableur) + PHPP 9.6 (conception bâtiment passif) + BatiCCTP (base de données descriptive du CTSB, abonnement) 

Protection numérique : + Licence Antivirus AVAST + Compte Cloud 25Mo HUBIC / OVH + Disque Dur Externe 500GB + Graveur DVD RW double layer + PC portable de secours Sony Vaio

Outils pour le suivi de chantier : + 1 Voiture avec marquage professionnel réf: Twingo2, année 2012, 160000km + Téléphone mobile Iphone6SE, opérateur Orange + Appareil Photo Sony 7.2 Mpx + Lasermètre LEICA Disto D2

Bibliothèque : + Conserver ou restaurer, C. Boito, les éditions de l’Imprimeur, 2000 + La conception bioclimatique, S.Courgey et JP. Oliva, éd Terre Vivante, 2006 + 170 Séquences pour mener une opération de construction (7e édition), H. Debaveye et P. Haxaire, éd Le Moniteur, 2010